jeudi 20 mars 2014


                                                        Nouvelles du Front





 "Une des fonctions essentielles du conte est d'imposer une trêve au combat des hommes". Daniel Pennac


Fractions de vie poétiques, atroces, savantes, douces et monstrueuses pendant le temps de guerre. Guerre entre pays, guerre-civile, guerre urbaine, guerre souterraine.


Parce que je crois à l’instruction des enfants dès leur premier âge comme chemin vers la paix dans le Monde, les bénéfices des ventes de ces Nouvelles du Front seront intégralement versées à l’Unesco pour son aide à l’éducation des enfants syriens dans les camps de réfugiés.

Je vous attends à la sortie du recueil le 29 mars au Salon du livre de la haute vallée de Chevreuse pour vous le dédicacer! Margarita





2 commentaires:

Margot-Maria Vanbert Van der Borght a dit…

J’ai reçu ton livre et j’ai tout arrêté pour me jeter dessus... pour découvrir Binh, Johan, Amar et les autres.
Et puis, damned, je suis parti à Paris, sans te remercier.
Je vais relire ces petits textes chaleureux, tendres, douloureux et profonds.
Yves Bouron (écrivain)

Je viens de terminer « Nouvelles du front ».

J’ai adooooooooré ! Vraiment beaucoup aimé. C’est émouvant, plein d’espoir aussi.
Toutes ces petites nouvelles sont bien construites. Les chutes inattendues. On est tenu en haleine et on a aussitôt envie de passer à la suivante.
Un vrai régal. Très beau petit recueil sur les conflits du monde entier. Un très bon moment de lecture….
Joëlle Chevalier (bibliothécaire)

Je prends enfin le temps de t'envoyer ce petit mot pour te féliciter et te dire
que j'ai beaucoup apprécié ton recueil, dont certains textes m'ont bouleversée
comme le 1er de "bras à bras" mais aussi "coup de foudre", "Luz" finalement je
ne saurai faire un classement!.
Christiane Vaucelle (artiste peintre)

Mon sucre d’orge du soir …
Fabie

Margot-Maria Vanbert Van der Borght a dit…

passionnant du début à la fin, on ne lâche pas, on veut savoir , on a peur de l'horreur qui peut apparaitre en un coup de plume, l'encre coulant comme du sang. Heureusement elle reste sous-entendue, paraphrasée mais jamais trop détaillée, donc supportable. Cependant une l'empathie se réveille au fil des nouvelles, pour une femme, un enfant, un couple...j'ai adoré. Fabienne Van Delft